Le procès pour prostitution de l’actrice américaine et d’une strip-teaseuse débute aujourd’hui à New York.
Ça ne rigole pas aux Etats-Unis ! La diversification des activités d’Alexia Moore n’est guère du goût de la justice. Son procès pour prostitution débute aujourd’hui à New York, dans une affaire qui fait notamment la joie de la presse à scandale. Employée par un club de strip-tease sur la 38e rue à New York, l’actrice américaine a été arrêtée en juillet 2008 après avoir fricoté, en compagnie de la strip-teaseuse Falynn Rodriguez, avec un agent en civil. En cause, l’accord donné par les deux filles pour continuer les ébats ultérieurement en dehors du club...
Une maison close ?
Pour l’avocat de Falynn Rodriguez, Adam Moser, le fondement de cette affaire est quelque peu surréaliste. « Elles pensaient qu’il s’agissait d’une blague », clame-t-il dans les colonnes du New York Post. Selon lui, le montant convenu (5 000 dollars) ne pouvait laisser croire à une proposition sérieuse de la part de l’agent. Le véritable fondement du procès serait en fait totalement autre. « Ils utilisent ces deux femmes pour essayer de faire tomber Lou Posner (le patron du club, N.D.L.R.) », avance encore Adam Moser. Car, pour éviter la prison, les demoiselles doivent admettre qu’elles s’adonnaient bel et bien à la prostitution.
Une confession qui transformerait le club de strip-tease en maison close, ouvrant ainsi la voie à des poursuites à l’encontre de son patron. Et à écouter la hardeuse Baby Sinead, qui a également travaillé dans ce club, la réalité ne serait pas loin de cette version. « C’était un endroit où l’on pouvait fumer de l’herbe en toute liberté. Bien que mineure, je pouvais consommer de l’alcool. Un mac venait presque chaque soir, accompagné d’une nuée de Russes qui bossaient pour lui. » Voilà, voilà, voilà…
Alexia Moore risque gros
Alexia Moore risque gros
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