Plongée dans l’économie de la pornographie japonaise avec l’actrice Hina Kurumi qui a détaillé ses revenus depuis le début de sa carrière. Son changement de pseudo lui a été bénéfique.
Il est l’un des rares à encore permettre aux actrices X de véritablement gagner leur vie. Pourtant, le dossier réalisé par le journal japonais Shukan Jitsuwa laisse penser que la pornographie n’est pas Byzance pour toutes les actrices. Contrairement au dossier paru dans le magazine Hot Vidéo en décembre dernier, il ne s’agit pas d’une enquête à proprement parler. L’hebdomadaire nippon s’est principalement concentré sur les tweets très détaillés de l’actrice Anju Sana, laquelle, il faut bien l’avouer, ne compte pas parmi les plus grandes stars de la péninsule. D’ailleurs, il demeure plus aisé de trouver des vidéos de la belle sous son ancien pseudo (Hina Kurumi), utilisé jusque fin 2010. Même si cette période n’était pas la plus faste de sa carrière.
Pas mieux payée que dans un bureau
En deux ans, elle a ainsi gagné un peu plus de 60 000 euros (6 381 500 yens), soit environ 2 500 euros par mois. À titre de comparaison, son nouveau blaze lui a permis de gagner presque le double lors de la dernière année (entre octobre 2010 et février 2012 plus précisément) avec 11 853 000 yens de revenus (111 500 euros). Un résultat aidé par son excellent mois d’août, lorsqu’elle a tourné dans des productions non censurées et empoché 3 120 000 yens (29 300 euros). Au final, elle estime son salaire mensuel lors de ses quatre années de carrière à 380 000 yens (3 600 euros environ), soit autant que si elle avait passé son temps à travailler dans un bureau devant un écran d’ordinateur… Une manière de rappeler qu’il ne faut pas se lancer dans le X pour espérer faire fortune mais plutôt pour trouver un emploi plaisant.
Par Thomas Musat pour Hotvideo.fr
Paru le 11 avril 2012
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