Sous couvert de porno romantique, Smash Pictures nous permet de découvrir la délicieuse petite Presley Hart. Un régal.
Il y en a toujours un qui passe entre les gouttes. C’est un peu comme au casino, à force de jouer, on finit toujours par tomber sur la bonne combinaison. Mais c’est là l’exception. Généralement très doué pour adapter le cinéma traditionnel en film pornographique, Smash Pictures n’a pas été aussi inspiré qu’à son habitude au moment de se lancer dans l’aventure de Diary of Love, un remake de N’oublie jamais.
Presley
Si on peut regretter un budget étriqué qui donne parfois des airs de telenovelas à ce long métrage, la marque de fabrique Smash reste tout de même aisément palpable avec des dialogues vifs et légers, un sens de l’érotisme affirmé et un casting haut de gamme. Car la vraie bonne nouvelle se trouve dans la double ration de Presley Hart. Quand une actrice inconnue parvient à gratter le premier rôle d’un film scénarisé et à se faire remarquer pour sa performance alors que Lily LaBeau, Kimberly Kane et Lia Lor comptent également au casting, c’est un signe fort de son potentiel. Certes, on est assez loin ici des poitrines opulentes qui peuplent le cahier amat’ de Hot mais la petite demoiselle de 23 ans (1m61 pour 45kg) arbore fièrement un 80B délicatement dessiné qui lui sied à merveille. Ironiquement, malgré sa grande sensualité, un visage radieux durant les fellations et un cul conçu pour la levrette, Presley Hart passe plus facilement pour une étudiante lambda que pour une hardeuse assoiffée de sexe. Ce qui n’est pas plus mal quand il s’agit d’un porno romantique…
